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jusqu'ou...
21/12/2004 10:51
Jusqu'ou ira le dopage?
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apprendre...
21/12/2004 10:49
ta deja reçu une merde de pigeon sur la tete?
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Les yeux de l'ame...
21/12/2004 10:36
Deux hommes tous les deux gravement malades occupaient la même chambre d'hôpital.
L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les sécrétions de ses poumons, son lit était à coté de la seule fenêtre de la chambre.
L'autre devait passer ses journées couché sur le dos.
Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et familles décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits ou ils avaient été en vacances.
Et chaque après-midi quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors.
L'homme dans l'autre lit commença à vivre pour ces périodes d'une heure ou son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.
De la chambre la vue donnait sur un parc avec un beau lac les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux modèles réduits.
Les amoureux marchaient, bras dessus bras dessous, parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel de grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner.
Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque.
Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par-là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre il pouvait le voir avec les yeux de son imagination tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante.
Les jours et les semaines passèrent.
Un matin à l'heure du bain l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre mort paisiblement dans son sommeil.
Attristée elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps.
Dès qu'il sentit que le temps était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à coté de la fenêtre.
L'infirmière heureuse de lui accorder cette petite faveur s'assura de son confort puis elle le laissa seul.
Lentement péniblement le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'œil dehors. Enfin il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit.
Or tout ce qu'il vit fut un mur ! L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité.
L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur.
Peut-être a-t-il seulement voulu vous encourager, commenta-t-elle.
Epilogue : Il y a un bonheur extraordinaire à rendre d'autres heureux en dépit de nos propres épreuves. La peine partagée réduit de moitié la douleur mais le bonheur une fois partagée, s'en trouve double.
Si vous voulez vous sentir riche vous n'avez qu'à compter, parmi toutes les choses que vous possédez, celles que l'argent ne peut acheter.
Aujourd'hui est un cadeau c'est pourquoi on l'appelle "présent".
Commentaire de ta cous (02/10/2005 16:26) :
c tro bo sa!!!
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Une belle preuve d'amour...
21/12/2004 10:28
Cher journal, je suis sur un lit d'hopital, le docteur dit que c'est une opération très difficile et je ne pourrais peut-être pas la faire. Mon copain n'est toujours pas arrivé.
Cher journal, l'opération est finit, les docteurs disent que tout s'est bien passé mais lui (le copain) n'est toujours pas arrivé.
Cher journal, une semaine est passée, je vais bien mais mon copain n'est toujours pas venu, à présent je vais aller chez lui, il me préoccupe beaucoup.
Cher journal, je suis allée chez lui et il n'y avait personne. Je suis entrée. Sur la table il y avait un mot qui disait: "Mon amour, mon coeur ne bat plus en moi mais je suis content de te l'avoir donner à toi... Je t'aime"
Commentaire de Aurore13 (11/03/2005 13:00) :
Il est trop ton texte sa donne envie de pleurer, bravo pour ton blog
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Commentaire de ta cous (02/10/2005 16:28) :
sa oci c tro bo!le mec il devé vrémen l'aimé plus ke tou meme plus ke
sa vie puiskil lui l' a doné.
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Texte connu , mais qui fait réfléchir...
21/12/2004 10:21
Je suis allongée par terre Maman , j'ai mal maman , je sens le sang couler, je vois le garcon qui conduisait maman , il n'a rien ... c'est trop injuste et cruel... je n'ai pas bu ce soir maman, je t'ai écouté je te promet... mais le garcon qui nous racompagnait lui avait bu...
Ne t'inquiètes pas maman je n'ai plus mal maintenant... mais je te vois pleurer et crier... je vois les gens autour de moi... Je n'avais pas bu... Tu diras à mon frère que je suis fière de lui, à Papa que je l'aime et toi... tu sais... ne crie pas maman je ne veux pas que tu souffres pour moi... Je m'en vais Maman ...Je n'ai pas peur Maman car je sais que je vous aime.
Commentaire de MiKeLoDiE (21/12/2004 10:26) :
bravo bravo bravo
tres bien c'est vrais que ca fait reflechir c'est vraiment un
beau texte que donne les larme au yeux
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image délirante
20/12/2004 09:53
putin, ya une de c ressanblance!! tu trouve pa?
Commentaire de maeva (29/10/2005 10:48) :
on di tjs ke lé maitre resemble a sn animal moi c ps le K ek sims
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image délirante
20/12/2004 09:52
j'ador cet image, el me fé tro délir!
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autres citations tro bel
19/12/2004 20:51
Faîtes l'amour pas la guerre...les préservatifs ça coûtent moins cher que les bombes nucléaires.
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autres citations tro bel
19/12/2004 20:49
Si tu te cognes la tête contre une cruche et que ça sonne creux, c'est pas forcément la cruche qui est vide.
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autres citations tro bel
19/12/2004 20:48
J'ai demandé à Oussama Ben Laden du pain, il m'a donné un champ de blé. Je lui ai demandé de l'eau, il m'a donné un océan. Je lui ai demandé une ispice de conasse, il m'a donné ton numéro.
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